Il y avait du bonheur d’avoir gagné le titre NBA, certes, mais déjà chez les Nuggets une certaine projection et l’envie de faire encore mieux : alors, fort de sa culture, de ses bases et de son modèle bâti pour durer, Denver peut-il devenir la nouvelle équipe dominante de la ligue ? Comment compte-t-elle régner sur les États-Unis ? Et qui sont ses principaux concurrents pour l’an prochain ?

Il y avait du bonheur d’avoir gagné le titre NBA, certes, mais déjà chez les Nuggets une certaine projection et l’envie de faire encore mieux : alors, fort de sa culture, de ses bases et de son modèle bâti pour durer, Denver peut-il devenir la nouvelle équipe dominante de la ligue ? Comment compte-t-elle régner sur les États-Unis ? Et qui sont ses principaux concurrents pour l’an prochain ?

Denver, la nouvelle dynastie ?

Emmenée par sa star Mike James, l’AS Monaco espère remporter le premier titre de son histoire face à Boulogne-Levallois. Quelles sont les clés du match ? Victor Wembanyama, en face, va-t-il tout changer ?

Emmenée par sa star Mike James, l’AS Monaco espère remporter le premier titre de son histoire face à Boulogne-Levallois. Quelles sont les clés du match ? Victor Wembanyama, en face, va-t-il tout changer ?

Monaco, l’heure de conclure

Guidés par l'exceptionnel Nikola Jokic, les Nuggets sont en finale de NBA et ils ont fait taire tous les sceptiques. Sont-ils capables de gravir cette dernière marche ? Comment s'organise l'équipe ? Et Jokic doit-il être considéré comme le meilleur joueur du monde ?

Guidés par l'exceptionnel Nikola Jokic, les Nuggets sont en finale de NBA et ils ont fait taire tous les sceptiques. Sont-ils capables de gravir cette dernière marche ? Comment s'organise l'équipe ? Et Jokic doit-il être considéré comme le meilleur joueur du monde ?

Denver, y a plus qu'à !

Ce sera donc au Texas, où Tony Parker a écrit sa légende, que le prodige français Victor Wembanyama va tenter d’écrire la sienne. Les Spurs ont tiré le gros lot à la loterie et le géant des Mets devrait y trouver de quoi bien travailler : avec Greg Popovich, la légende du coaching, et au sein d’une franchise spécialiste dans le développement de champions, comme Tim Duncan en son temps.

Ce sera donc au Texas, où Tony Parker a écrit sa légende, que le prodige français Victor Wembanyama va tenter d’écrire la sienne. Les Spurs ont tiré le gros lot à la loterie et le géant des Mets devrait y trouver de quoi bien travailler : avec Greg Popovich, la légende du coaching, et au sein d’une franchise spécialiste dans le développement de champions, comme Tim Duncan en son temps.

Wemby aux Spurs : comme si c'était écrit

La star du Miami Heat, toujours en course pour le titre, n’a une fois de plus pas dérogé à son principe fondamental : briller plus que tout en play-offs. Cette faculté à ne pas subir la pression et à se révéler dans l’adversité qui s’explique notamment par sa force de caractère, parfois clivante, son histoire personnelle, difficile, et son incroyable force de travail.

La star du Miami Heat, toujours en course pour le titre, n’a une fois de plus pas dérogé à son principe fondamental : briller plus que tout en play-offs. Cette faculté à ne pas subir la pression et à se révéler dans l’adversité qui s’explique notamment par sa force de caractère, parfois clivante, son histoire personnelle, difficile, et son incroyable force de travail.

Butler, label sous-coté

Légende du basket français, Céline Dumerc va raccrocher les baskets à l’issue de la saison. Dans Step back, elle raconte le cheminement qui l’a mené à cette décision, cette fois définitive, assure-t-elle, et revient sur les grands moments de son immense carrière.

Légende du basket français, Céline Dumerc va raccrocher les baskets à l’issue de la saison. Dans Step back, elle raconte le cheminement qui l’a mené à cette décision, cette fois définitive, assure-t-elle, et revient sur les grands moments de son immense carrière.

Dumerc prend sa retraite : « L'année de trop qu'il me fallait »

Et c’est enfin parti en NBA : changement de format, changement d’intensité, changement d’enjeu, changement de mentalité. La saison régulière a laissé place aux play-offs et tout est déjà très différent. Alors Step back s’est penché sur la question pour essayer de comprendre les différentes dynamiques à l’Est et à l’Ouest.

Et c’est enfin parti en NBA : changement de format, changement d’intensité, changement d’enjeu, changement de mentalité. La saison régulière a laissé place aux play-offs et tout est déjà très différent. Alors Step back s’est penché sur la question pour essayer de comprendre les différentes dynamiques à l’Est et à l’Ouest.

Vive les play-offs !

À l’occasion des trente ans du sacre du Limoges CSP en Coupe d’Europe, le premier d’un club français tous sports collectifs confondus, Step back s’est rendu sur place pour comprendre ce que ce club a de si spécial. Nicolas Lang, capitaine et joueur de l’équipe de France, Yan Verger, président du groupe « Ultras Green », et Matthieu Marot, journaliste pour le Populaire du Centre, donnent quelques éléments de réponse.

À l’occasion des trente ans du sacre du Limoges CSP en Coupe d’Europe, le premier d’un club français tous sports collectifs confondus, Step back s’est rendu sur place pour comprendre ce que ce club a de si spécial. Nicolas Lang, capitaine et joueur de l’équipe de France, Yan Verger, président du groupe « Ultras Green », et Matthieu Marot, journaliste pour le Populaire du Centre, donnent quelques éléments de réponse.

« L'esprit de Limoges ne mourra jamais »

Alors que les joueurs ont de plus en plus de pouvoir et d’importance dans les politiques des franchises, Step back s’est demandé ce que ça voulait dire, en 2023, de diriger une équipe NBA au quotidien. Management, gestion de l’entraînement, extra-sportif… Immersion avec notamment le témoignage de Will Weaver, ancien assistant, entre autres, des Nets et des Rockets.

Alors que les joueurs ont de plus en plus de pouvoir et d’importance dans les politiques des franchises, Step back s’est demandé ce que ça voulait dire, en 2023, de diriger une équipe NBA au quotidien. Management, gestion de l’entraînement, extra-sportif… Immersion avec notamment le témoignage de Will Weaver, ancien assistant, entre autres, des Nets et des Rockets.

C'est quoi être coach NBA en 2023 ?

Tony Parker va être introduit au Hall of Fame du basket, et ce n’est une surprise pour personne. Mais comme il convient de toujours rendre hommage au plus grand basketteur français de l’histoire, Step back s’est replongé dans la boîte à souvenirs pour retracer quelques-unes des aventures de “TP” de l’autre côté de l’Atlantique.

Tony Parker va être introduit au Hall of Fame du basket, et ce n’est une surprise pour personne. Mais comme il convient de toujours rendre hommage au plus grand basketteur français de l’histoire, Step back s’est replongé dans la boîte à souvenirs pour retracer quelques-unes des aventures de “TP” de l’autre côté de l’Atlantique.

Parker, le Hall of Famer

Tous les vendredis, l'actualité du basket par la rédaction de L'Equipe.

Step back

Vainqueur du choc contre les Lakers dans la nuit de jeudi à vendredi (11-104), Milwaukee a confirmé sa domination cette saison. Le collectif huilé des Bucks et sa star Giannis Antetokoumpo en font un des favoris au titre. Mais cela sera-t-il aussi simple ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, les Milwaukee Bucks ont infligé aux Los Angeles Lakers leur deuxième défaite consécutive (111-104). Si le banc des Lakers a largement failli (4 points inscrits seulement), c'est surtout la performance des hommes de Mike Budenholzer qui est à souligner. Milwaukee et son impressionnant bilan (25v-4d) a confirmé sa supériorité cette saison. Comment ont-ils dominé les Lakers de LeBron James ? Giannis Antetokoumpo a profité de cette rencontre pour signer une feuille digne de sa forme actuelle (34 points, 11 rebonds, 7 passes) et pour réussir son record en carrière avec cinq tirs à trois-points (5/8). Plus que jamais, la franchise du Wisconsin mise sur sa star. Comment jouent les Bucks avec et sans Antetokoumpo ? Faut-il ménager le Grec en vue des play-offs ? Large leader de la conférence Est, Milwaukee l'est aussi pour atteindre la finale de la NBA. La saison passée, les Toronto Raptors avaient mis fin au parcours des Bucks en finale de la conférence Est. Y a-t-il cette saison une équipe capable de leur résister ? Philadelphie, Boston ou Miami ? Animé par Xavier Colombani, avec Sandro Pitzus, Amaury Perdriau et Liliane Trévisan.

Vainqueur du choc contre les Lakers dans la nuit de jeudi à vendredi (11-104), Milwaukee a confirmé sa domination cette saison. Le collectif huilé des Bucks et sa star Giannis Antetokoumpo en font un des favoris au titre. Mais cela sera-t-il aussi simple ? Dans la nuit de jeudi à vendredi, les Milwaukee Bucks ont <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Antetokounmpo-et-les-bucks-intraitables/1092004" rel="nofollow" target="_blank">infligé aux Los Angeles Lakers</a> leur deuxième défaite consécutive (111-104). Si le banc des Lakers a largement failli (4 points inscrits seulement), c'est surtout la performance des hommes de Mike Budenholzer qui est à souligner. Milwaukee et son impressionnant bilan (25v-4d) a confirmé sa supériorité cette saison. Comment ont-ils dominé les Lakers de LeBron James ? Giannis Antetokoumpo a profité de cette rencontre pour signer une feuille <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-giannis-antetokounmpo-c-est-mieux-de-loin/1092088" rel="nofollow" target="_blank">digne de sa forme</a> actuelle (34 points, 11 rebonds, 7 passes) et pour réussir son record en carrière avec cinq tirs à trois-points (5/8). Plus que jamais, la franchise du Wisconsin mise sur sa star. Comment jouent les Bucks avec et sans Antetokoumpo ? Faut-il ménager le Grec en vue des play-offs ? Large leader de la conférence Est, Milwaukee l'est aussi pour atteindre la finale de la NBA. La saison passée, les Toronto Raptors avaient mis fin au parcours des Bucks en finale de la conférence Est. Y a-t-il cette saison une équipe capable de leur résister ? Philadelphie, Boston ou Miami ? Animé par Xavier Colombani, avec Sandro Pitzus, Amaury Perdriau et Liliane Trévisan.

Milwaukee, une tête de champion ?

Disputer les cinq dernières finales de la NBA a consacré Stephen Curry et ses coéquipiers comme l'une des plus grandes équipes de l'histoire. Mais le début de saison semble dessiner la fin d'une ère pour Golden State. « Un empire fondé sur les armes a besoin de se soutenir par les armes », soutenait Montesquieu en 1734. Or les armes de l'empire californien sont parties (Durant, Cousins, Iguodala) ou blessées (Curry, Green, Thompson). Avec deux petits succès en huit matches dans une Conférence Ouest à la densité impitoyable, assiste-ton à l'effondrement d'une dynastie ? Les Warriors pourraient-ils même manquer les play-offs pour la première fois depuis 2013 ? Ces blessures justement interrogent. Emportés par leur marche triomphale sur la NBA, les joueurs ont-ils trop joué, expliquant ces corps meurtris en grand nombre ? Toutes les grandes dynasties ont connu des creux après avoir tant dominé. Ce fut vrai pour les Celtics dans les années 60, les Lakers dans les années 80 ou les Bulls dans les années 90. Est-ce une simple année de transition pour Golden State ou l'amorce d'un déclin durable ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Xavier Colombani, Liliane Trévisan et Maxime Malet (par téléphone, à New York).

Disputer les cinq dernières finales de la NBA a consacré Stephen Curry et ses coéquipiers comme l'une des plus grandes équipes de l'histoire. Mais le début de saison semble dessiner la fin d'une ère pour Golden State. « Un empire fondé sur les armes a besoin de se soutenir par les armes », soutenait Montesquieu en 1734. Or les armes de l'empire californien sont parties (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-kevin-durant-et-kyrie-irving-rejoignent-brooklyn-officiel/1035477" rel="nofollow" target="_blank">Durant</a>, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-demarcus-cousins-aux-lakers-avec-rajon-rondo/1037564" rel="nofollow" target="_blank">Cousins</a>, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-le-maillot-d-andre-iguodala-sera-retire-par-les-golden-state-warriors/1037837" rel="nofollow" target="_blank">Iguodala</a>) ou blessées (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-stephen-curry-golden-state-opere-d-une-main-et-absent-au-moins-trois-mois/1075712" rel="nofollow" target="_blank">Curry</a>, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-absence-prolongee-pour-draymond-green-golden-state-warriors/1076430" rel="nofollow" target="_blank">Green</a>, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-klay-thompson-souffre-d-une-rupture-du-ligament-croise-anterieur-du-genou-gauche/1029787" rel="nofollow" target="_blank">Thompson</a>). Avec <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/BasketClassementNBA2020_W.html" rel="nofollow" target="_blank">deux petits succès en huit matches</a> dans une Conférence Ouest à la densité impitoyable, assiste-ton à l'effondrement d'une dynastie ? Les Warriors pourraient-ils même manquer les play-offs pour la première fois depuis 2013 ? Ces blessures justement interrogent. Emportés par leur marche triomphale sur la NBA, les joueurs ont-ils trop joué, expliquant ces corps meurtris en grand nombre ? Toutes les grandes dynasties ont connu des creux après avoir tant dominé. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/HIST_NBA.html" rel="nofollow" target="_blank">Ce fut vrai pour les Celtics dans les années 60, les Lakers dans les années 80 ou les Bulls dans les années 90.</a> Est-ce une simple année de transition pour <a href="https://www.lequipe.fr/special/Basket/guide/v4/nba-2019-2020/equipe/golden-state-warriors" rel="nofollow" target="_blank">Golden State</a> ou l'amorce d'un déclin durable ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Xavier Colombani, Liliane Trévisan et Maxime Malet (par téléphone, à New York).

Dynasty Warriors

Si le contingent français en NBA est fourni, seuls Evan Fournier, Rudy Gobert, Frank Ntilikina et Nicolas Batum ont un vrai temps de jeu régulier. Step back fait un point d’étape, analyse leurs temps de passage et leurs ambitions pour la saison. Très en forme pour son retour en NBA après un Mondial réussi, Evan Fournier a retrouvé son adresse - 19,9 points de moyenne - et s’est imposé comme la première solution offensive du Magic d'Orlando. Le retour de Vucevic pourrait-il atténuer son poids au sein de l’équipe ? Va-t-il décider d’aller voir ailleurs ?  Du côté de l’Utah, le Jazz connaît des résultats en dents de scie, recrute des joueurs qui apportent beaucoup offensivement, et qui fragilisent la position de Rudy Gobert dans la course au All Star Game. Serait-on trop indulgents avec Frank Ntilikina ? Le meneur tricolore peine à mettre en place son jeu, à l'image de son équipe. Faut-il continuer d’utiliser les mauvais résultats des Knicks pour l'excuser, ou plutôt lui souhaiter un changement d’équipe pour retrouver un cadre idéal pour son épanouissement ?  Avec 3,2 points, une moyenne aux antipodes de son niveau de salaire, Nicolas Batum réalise des performances en-dessous de son année rookie. Serait-il déjà plus dirigeant de l’Asvel que joueur des Hornets ? Un rebond est-il possible, une fois la trentaine passée ?  Animé par Xavier Colombani avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Maxime Malet à New York. 

Si le contingent français en NBA est fourni, seuls Evan Fournier, Rudy Gobert, Frank Ntilikina et Nicolas Batum ont un vrai temps de jeu régulier. Step back fait un point d’étape, analyse leurs temps de passage et leurs ambitions pour la saison. Très en forme pour son retour en NBA après un Mondial réussi, Evan Fournier a retrouvé son adresse - 19,9 points de moyenne - et s’est imposé comme la première solution offensive du Magic d'Orlando. Le retour de Vucevic pourrait-il atténuer son poids au sein de l’équipe ? Va-t-il décider d’aller voir ailleurs ?  Du côté de l’Utah, le Jazz connaît des résultats en dents de scie, recrute des joueurs qui apportent beaucoup offensivement, et qui fragilisent la position de Rudy Gobert dans la course au All Star Game. Serait-on trop indulgents avec Frank Ntilikina ? Le meneur tricolore peine à mettre en place son jeu, à l'image de son équipe. Faut-il continuer d’utiliser les mauvais résultats des Knicks pour l'excuser, ou plutôt lui souhaiter un changement d’équipe pour retrouver un cadre idéal pour son épanouissement ?  Avec 3,2 points, une moyenne aux antipodes de son niveau de salaire, Nicolas Batum réalise des performances en-dessous de son année rookie. Serait-il déjà plus dirigeant de l’Asvel que joueur des Hornets ? Un rebond est-il possible, une fois la trentaine passée ?  Animé par Xavier Colombani avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Maxime Malet à New York.

Où en sont les Frenchies de la NBA ?

La NBA a repris ses droits et pour cette nouvelle saison, le mot d’ordre est clair : toujours plus d’intensité.  Dans une conférence Ouest extrêmement dense, les Clippers ont commencé fort lors du derby de Los Angeles (112-102). Ils devraient s’imposer comme l’une des défenses les plus étouffantes de la ligue, et ont probablement le banc le plus impressionnant avec le duo Lou Williams et Montrezl Harrell. Laissons toutefois encore un peu de temps aux Lakers avant de nous inquiéter. L’équipe, qui a énormément changé à l’intersaison, a peut-être simplement besoin de temps pour se trouver et construire son jeu. Mais d’autres grosses franchises n’ont pas encore joué. Golden State et Houston changeront-elles la donne ? À l’Est, Philadelphie se voit déjà en finale, mais Boston ne s’avouera pas vaincu aussi facilement. Dans un match acharné (107-93), les deux équipes ont encore une fois prouvé qu’elles étaient prêtes, sérieuses. Cette intensité se maintiendra-t-elle sur toute la saison ? En Europe, l’ASVEL est, elle aussi, confrontée à un rythme digne de la NBA. Douze rencontres en trente-cinq jours… Les débuts en fanfare des Villeurbannais en Euroligue se poursuivront-ils malgré ce rythme effréné ? Aura-t-il un impact sur leurs résultats en Jeep Elite ? Animé par Amaury Perdriau, avec Gaëtan Delafolie, Sami Sadik et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

La NBA a repris ses droits et pour cette nouvelle saison, le mot d’ordre est clair : toujours plus d’intensité.  Dans une conférence Ouest extrêmement dense, les Clippers ont commencé fort lors du derby de Los Angeles (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-les-clippers-marquent-leur-territoire/1072503" rel="nofollow" target="_blank">112-102</a>). Ils devraient s’imposer comme l’une des défenses les plus étouffantes de la ligue, et ont probablement le banc le plus impressionnant avec le duo Lou Williams et Montrezl Harrell. Laissons toutefois encore un peu de temps aux Lakers avant de nous inquiéter. L’équipe, qui a énormément changé à l’intersaison, a peut-être simplement besoin de temps pour se trouver et construire son jeu. Mais d’autres grosses franchises n’ont pas encore joué. Golden State et Houston changeront-elles la donne ? À l’Est, Philadelphie se voit déjà en finale, mais Boston ne s’avouera pas vaincu aussi facilement. Dans un match acharné (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-philadelphie-dispose-de-boston-brooklyn-surpris/1072809" rel="nofollow" target="_blank">107-93</a>), les deux équipes ont encore une fois prouvé qu’elles étaient prêtes, sérieuses. Cette intensité se maintiendra-t-elle sur toute la saison ? En Europe, l’ASVEL est, elle aussi, confrontée à un rythme digne de la NBA. Douze rencontres en trente-cinq jours… Les débuts en fanfare des Villeurbannais en Euroligue se poursuivront-ils malgré ce rythme effréné ? Aura-t-il un impact sur leurs résultats en Jeep Elite ? Animé par Amaury Perdriau, avec Gaëtan Delafolie, Sami Sadik et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Une reprise vraiment prometteuse en NBA ?

Ils dominent pour le moment l'Ouest dans le sillage d'un LeBron James phénoménal. Les Lakers ont réussi leur début de saison, plus en tout cas que les Clippers, les favoris des bookmakers pour le titre NBA. Mais Paul George est de retour. Le duel semble enfin lancé. La victoire inaugurale des Clippers sur leurs voisins des Lakers (112-102) le 23 octobre avait donné de l'épaisseur à leur statut de favoris. Mais après douze matches, Kawhi Leonard et les siens ont déjà chuté cinq fois. Par moment, le MVP des finales de la saison passée a été ménagé et l'autre recrue phare, Paul George, n'a fait son retour que ce jeudi 15 novembre, lors de la défaite à New Orleans (127-132) après sept mois d'absence. Mais puisque les Clippers n'ont jamais été au complet jusqu'ici, a-t-on vu le vrai visage des Californiens ? De l'autre côté de la ville, la franchise aux seize titres fait la course en tête grâce à un King James omnipotent (23,9 points, 8 rebonds, 11 passes décisives en moyenne, n°1). Son entente avec la star Anthony Davis (26,3 points et 10,4 rebonds), arrivée l'été dernier, se dessine déjà. Mais les Lakers, meilleure défense de la Ligue, ont-ils les armes pour maintenir ce rythme ? Leurs voisins de la cité des Anges seront des rivaux toute la saison mais seront-ils les seuls à l'Ouest ? Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Yann Ohnona et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Ils dominent pour le moment l'Ouest dans le sillage d'un LeBron James phénoménal. Les Lakers ont réussi leur début de saison, plus en tout cas que les Clippers, les favoris des bookmakers pour le titre NBA. Mais Paul George est de retour. Le duel semble enfin lancé. La victoire inaugurale des Clippers sur leurs voisins des Lakers (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-les-clippers-remportent-face-aux-lakers-le-premier-derby-de-los-angeles-de-la-saison/1072476" rel="nofollow" target="_blank">112-102</a>) le 23 octobre avait donné de l'épaisseur à leur statut de favoris. Mais après douze matches, Kawhi Leonard et les siens ont déjà chuté cinq fois. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-les-forfaits-de-kawhi-leonard-font-debat/1077779" rel="nofollow" target="_blank">Par moment, le MVP des finales de la saison passée a été ménagé</a> et l'autre recrue phare, Paul George, n'a fait son retour que ce jeudi 15 novembre, lors de la défaite à New Orleans (<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Premiere-gachee-pour-paul-george-avec-les-clippers/1080335" rel="nofollow" target="_blank">127-132</a>) après sept mois d'absence. Mais puisque les Clippers n'ont jamais été au complet jusqu'ici, a-t-on vu le vrai visage des Californiens ? De l'autre côté de la ville, la franchise aux seize titres fait la course en tête <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-lebron-james-grand-roi-en-californie/1077255" rel="nofollow" target="_blank">grâce à un King James omnipotent</a> (23,9 points, 8 rebonds, 11 passes décisives en moyenne, n°1). Son entente avec la star Anthony Davis (26,3 points et 10,4 rebonds), arrivée l'été dernier, se dessine déjà. Mais les Lakers, meilleure défense de la Ligue, ont-ils les armes pour maintenir ce rythme ? Leurs voisins de la cité des Anges seront des rivaux toute la saison mais seront-ils les seuls à l'Ouest ? Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Yann Ohnona et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

La bataille de Los Angeles

Wilt Chamberlain

Il reste le seul joueur à avoir jamais inscrit 100 points en l’espace d’un seul match, en 1962. Dans une NBA obsédée par les statistiques, Chamberlain tient une place à part mais laquelle ? Celle d’une légende du jeu ? Ou celle d’un indécrottable individualiste ?  De l’autre côté de l’Atlantique, le débat fait rage pour déterminer qui de Michael Jordan ou de LeBron James est le plus grand joueur de l’Histoire. Avec ses 70 records mais deux titres NBA seulement, Wilt Chamberlain est-il lui aussi un concurrent à ce titre officieux comme le clame son successeur chez les Sixers, Joel Embiid ?   Vingt ans après sa disparition, le peu d’images de Chamberlain à disposition nourrit sa légende. Mais qu’a-t-il laissé en héritage ? Quand son grand rival, Bill Russell (onze titres NBA avec les Celtics de Boston, un record) vomissait de stress avant les matches, Chamberlain affichait un certain détachement. Était-ce un vrai passionné de basket ou davantage un dragueur à succès comme il s’en vantait ? 

Il reste le seul joueur à avoir jamais inscrit 100 points en l’espace d’un seul match, en 1962. Dans une NBA obsédée par les statistiques, Chamberlain tient une place à part mais laquelle ? Celle d’une légende du jeu ? Ou celle d’un indécrottable individualiste ?  De l’autre côté de l’Atlantique, le débat fait rage pour déterminer qui de Michael Jordan ou de LeBron James est le plus grand joueur de l’Histoire. Avec ses 70 records mais deux titres NBA seulement, Wilt Chamberlain est-il lui aussi un concurrent à ce titre officieux comme le clame son successeur chez les Sixers, Joel Embiid ? Vingt ans après sa disparition, le peu d’images de Chamberlain à disposition nourrit sa légende. Mais qu’a-t-il laissé en héritage ? Quand son grand rival, Bill Russell (onze titres NBA avec les Celtics de Boston, un record) vomissait de stress avant les matches, Chamberlain affichait un certain détachement. Était-ce un vrai passionné de basket ou davantage un dragueur à succès comme il s’en vantait ?

Wilt Chamberlain, mytho et mythique

Le Grec Giannis Antetokounmpo (MVP) et le Slovène Luka Doncic (meilleur rookie) impressionnent depuis la saison dernière, comme d'autres étrangers. Leur performance interroge, en creux, celle des Américains. Le débat pour déterminer le MVP de la saison régulière a déjà commencé. Aux côtés des Américains James Harden et LeBron James figurent Giannis Antetokounmpo, bien sûr, mais aussi Luka Doncic. Après une quinzaine de matches, le Grec est le troisième meilleur marqueur de la NBA (30,1 points de moyenne). Le Slovène, quatrième (29,9), frise lui le triple-double... en moyenne (10,6 rebonds et 9,4 passes). S'agit-il de performances individuelles ou sont-elles le fruit d'une tendance ? Parmi les onze nouveaux joueurs retenus ces deux dernières années pour le All-Star Game, sept étaient étrangers. Les Américains sont-ils en train de laisser les rênes de la Ligue aux basketteurs venus d'ailleurs ? La question se pose d'autant plus depuis l'élimination de Team USA dès les quarts de finale lors de la dernière Coupe du monde. Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Amaury Perdriau et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Le Grec Giannis Antetokounmpo (MVP) et le Slovène Luka Doncic (meilleur rookie) impressionnent depuis la saison dernière, comme d'autres étrangers. Leur performance interroge, en creux, celle des Américains. Le débat pour déterminer le MVP de la saison régulière a déjà commencé. Aux côtés des Américains James Harden et LeBron James figurent Giannis Antetokounmpo, bien sûr, mais aussi Luka Doncic. Après une quinzaine de matches, le Grec est le troisième meilleur marqueur de la NBA (30,1 points de moyenne). Le Slovène, quatrième (29,9), frise lui le triple-double... en moyenne (10,6 rebonds et 9,4 passes). S'agit-il de performances individuelles ou sont-elles le fruit d'une tendance ? Parmi les onze nouveaux joueurs retenus ces deux dernières années pour le All-Star Game, sept étaient étrangers. Les Américains sont-ils en train de laisser les rênes de la Ligue aux basketteurs venus d'ailleurs ? La question se pose d'autant plus depuis l'élimination de Team USA dès les quarts de finale lors de la dernière Coupe du monde. Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Amaury Perdriau et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Les étrangers au pouvoir en NBA ?

Ils n'étaient pas favoris, ils disputaient leur première finale en NBA et pourtant les Raptors ont conclu la série 4-2 face à Golden State. Comment la franchise canadienne a-t-elle conquis ce premier titre ? Ils étaient bien peu d'observateurs à imaginer les champions sortants tomber. Mais les Warriors n'ont pas seulement chuté, ils ont perdu leur trois matches à domicile, à Oakland. Faut-il d'abord analyser cette défaite comme celle d'un collectif privé de ses stars sur blessure : Kevin Durant, tendon d'Achille rompu, et Klay Thompson, rupture des ligaments croisés antérieurs du genou ? Ce ne sera pas l'avis des supporters canadiens qui vanteront les mérites de leur star, Kawhi Leonard, élu MVP des finales, et d'une équipe comptant cinq joueurs à 15 points ou plus lors de ce match 6. Mais la force de Toronto ne réside-t-elle pas avant tout dans le mental de cette équipe, capable de triompher au match 7 de Philadelphia, puis de remonter un handicap de deux revers face à Milwaukee en finale à l'Est ? Cette dynamique, c'est aussi celle d'un coach au parcours pour le moins atypique, Nick Nurse. Où cet Américain de 51 ans a-t-il forgé sa science tactique et son sens du management ? Enfin, une des explications au succès des Raptors n'est-elle pas à chercher du côté du président, Masai Ujiri ? Quel rôle a joué cet ancien joueur professionnel nigérian ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Ils n'étaient pas favoris, ils disputaient leur première finale en NBA et pourtant les Raptors ont conclu la série 4-2 face à Golden State. Comment la franchise canadienne a-t-elle conquis ce premier titre ? Ils étaient bien peu d'observateurs à imaginer les champions sortants tomber. Mais les Warriors n'ont pas seulement chuté, ils ont perdu leur trois matches à domicile, à Oakland. Faut-il d'abord analyser cette défaite comme celle d'un collectif privé de ses stars sur blessure : <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-kevin-durant-golden-state-opere-suite-a-une-rupture-d-un-tendon-d-achille/1029288" rel="nofollow" target="_blank">Kevin Durant, tendon d'Achille rompu</a>, et <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-klay-thompson-souffre-d-une-rupture-du-ligament-croise-anterieur-du-genou-gauche/1029787" rel="nofollow" target="_blank">Klay Thompson, rupture des ligaments croisés antérieurs du genou</a> ? Ce ne sera pas l'avis des supporters canadiens qui vanteront les mérites de leur star, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-kawhi-leonard-elu-mvp-de-la-finale/1029782" rel="nofollow" target="_blank">Kawhi Leonard, élu MVP des finales</a>, et d'une équipe comptant <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-premier-sacre-pour-les-toronto-raptors-tombeurs-de-golden-state-au-match-6/1029779" rel="nofollow" target="_blank">cinq joueurs à 15 points ou plus lors de ce match 6</a>. Mais la force de Toronto ne réside-t-elle pas avant tout dans le mental de cette équipe, capable <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-au-buzzer-kawhi-leonard-elimine-philadelphie-et-envoie-toronto-en-finale-de-conference/1018281" rel="nofollow" target="_blank">de triompher au match 7 de Philadelphia</a>, puis <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-comment-les-toronto-raptors-sont-parvenus-jusqu-a-leur-premiere-finale/1023040" rel="nofollow" target="_blank">de remonter un handicap de deux revers face à Milwaukee en finale à l'Est</a> ? Cette dynamique, c'est aussi celle d'<a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-qui-est-nick-nurse-le-coach-des-toronto-raptors/1030079" rel="nofollow" target="_blank">un coach au parcours pour le moins atypique, Nick Nurse</a>. Où cet Américain de 51 ans a-t-il forgé sa science tactique et son sens du management ? Enfin, une des explications au succès des Raptors n'est-elle pas à chercher du côté du président, Masai Ujiri ? Quel rôle a joué cet ancien joueur professionnel nigérian ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Maxime Malet (à New York, par téléphone).

Toronto, vraiment une surprise ?

Le plus prestigieux Championnat de basket au monde offre plusieurs passages obligés : la trade deadline du 6 février, le All-Star Game, les play-offs, la finale, etc. Et autant de questions, de pronostics, de prophéties. (à partir de 1'47'') La trade deadline (date limite des transferts) est fixée au 6 février. L'an dernier, 50 joueurs avaient changé d'équipe à cette occasion. Et cette année ? (5'06'') On connaît depuis jeudi les premières tendances des votes pour le All-Star Game du 16 février. Deux Français concentrent l'attention : Rudy Gobert et Evan Fournier. Ont-ils des chances d'y figurer ? (12'31'') Alors que l'on arrive à la mi-saison, quelles équipes peuvent espérer une montée en puissance et se qualifier pour les play-offs : Chicago ? Detroit ? Portland ? (22'02'') Si l'on s'en tient aux classements de la saison régulière, les Lakers, premiers à l'ouest, pourraient affronter les Bucks, premiers à l'est, en finale. Pourquoi cela pourrait-il bien être le choc au mois de juin prochain ? (26'47'') La cérémonie des récompenses aura lieu à la fin de ce même mois de juin, le titre de MVP peut-il échapper au terrible Giannis Antetokounmpo (Milwaukee) ? (33'21'') Quels joueurs français seront sélectionnés lors de la prochaine draft ? (36'55'') La période de free agency sera-t-elle aussi folle que celle de l'été dernier ? Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Alessandro Pitzus et Maxime Malet (à New York).

Le plus prestigieux Championnat de basket au monde offre plusieurs passages obligés : la trade deadline du 6 février, le All-Star Game, les play-offs, la finale, etc. Et autant de questions, de pronostics, de prophéties. (à partir de 1'47'') La trade deadline (date limite des transferts) est fixée au 6 février. L'an dernier, 50 joueurs avaient changé d'équipe à cette occasion. Et cette année ? (5'06'') On connaît depuis jeudi les premières tendances des votes pour le All-Star Game du 16 février. Deux Français concentrent l'attention : Rudy Gobert et Evan Fournier. Ont-ils des chances d'y figurer ? (12'31'') Alors que l'on arrive à la mi-saison, quelles équipes peuvent espérer une montée en puissance et se qualifier pour les play-offs : Chicago ? Detroit ? Portland ? (22'02'') Si l'on s'en tient aux classements de la saison régulière, les Lakers, premiers à l'ouest, pourraient affronter les Bucks, premiers à l'est, en finale. Pourquoi cela pourrait-il bien être le choc au mois de juin prochain ? (26'47'') La cérémonie des récompenses aura lieu à la fin de ce même mois de juin, le titre de MVP peut-il échapper au terrible Giannis Antetokounmpo (Milwaukee) ? (33'21'') Quels joueurs français seront sélectionnés lors de la prochaine draft ? (36'55'') La période de free agency sera-t-elle aussi folle que celle de l'été dernier ? Animé par Xavier Colombani, avec Gaëtan Delafolie, Alessandro Pitzus et Maxime Malet (à New York).

Qu'attendre de la NBA en 2020 ?

La troisième année de Frank Ntilikina à New York ne lui offre pas davantage de temps de jeu. Entre un coach, David Fizdale, à l'attitude ambigüe et une trop faible efficacité au shoot, va-t-il lancer enfin sa carrière NBA ? C'est l'incongruité de la situation qui frappe les esprits. New York a beau être une ville à la renommée internationale, les Knicks restent une franchise médiocre : une seule victoire sur leurs cinq premiers matches. La confusion y règne. À l'image de la gestion du cas Frank Ntilikina, meneur impressionnant avec les Bleus lors de la Coupe du monde mais abonné le plus souvent au banc de touche, même lorsqu'à Orlando (83-95), le 31 octobre, les deux titulaires du poste étaient forfait. Pourquoi l'ancien Strasbourgeois de 21 ans ne parvient pas à exprimer son talent outre-Atlantique ? La SIG, son ancien club, connaît plus de difficultés encore. Un seul succès en six rencontres de Jeep Elite. Pourtant mi-septembre, Strasbourg, troisième budget du Championnat, faisait figure d'outsider cette saison. Le coach, Vincent Collet était revenu de sa campagne mondiale avec les Bleus auréolé d'une médaille de bronze. Le groupe avait été rajeuni et enrichi de la présence de cinq étrangers, dont les Américains Travis Trice et Jerai Grant. Alors que se passe-t-il en Alsace ? Collet est-il en danger ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Gaëtan Delafolie, Arnaud Lecomte et Alessandro Pitzus.

La troisième année de Frank Ntilikina à New York ne lui offre pas davantage de temps de jeu. Entre un coach, David Fizdale, à l'attitude ambigüe et une trop faible efficacité au shoot, va-t-il lancer enfin sa carrière NBA ? C'est l'incongruité de la situation qui frappe les esprits. New York a beau être une ville à la renommée internationale, les Knicks restent une franchise médiocre : <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-les-knicks-renversent-les-bulls-au-madison-square-garden/1074474" rel="nofollow" target="_blank">une seule victoire</a> sur leurs cinq premiers matches. La confusion y règne. À l'image de la gestion du cas Frank Ntilikina, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Etats-unis-france-le-declic-ntilikina/1058094" rel="nofollow" target="_blank">meneur impressionnant avec les Bleus lors de la Coupe du monde</a> mais abonné le plus souvent au banc de touche, même lorsqu'à Orlando (83-95), le 31 octobre, les deux titulaires du poste étaient forfait. Pourquoi l'ancien Strasbourgeois de 21 ans ne parvient pas à exprimer son talent outre-Atlantique ? La SIG, son ancien club, connaît plus de difficultés encore. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Martial-bellon-president-de-strasbourg-un-tres-mauvais-debut-de-saison/1073948" rel="nofollow" target="_blank">Un seul succès en six rencontres de Jeep Elite.</a> Pourtant mi-septembre, Strasbourg, troisième budget du Championnat, faisait figure d'outsider cette saison. Le coach, Vincent Collet était revenu de sa campagne mondiale avec les Bleus <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Coupe-du-monde-le-rebond-de-vincent-collet/1059375" rel="nofollow" target="_blank">auréolé d'une médaille de bronze</a>. Le groupe avait été rajeuni et enrichi de la présence de cinq étrangers, dont les Américains Travis Trice et Jerai Grant. Alors que se passe-t-il en Alsace ? Collet est-il en danger ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Gaëtan Delafolie, Arnaud Lecomte et Alessandro Pitzus.

Le mystère Ntilikina

Sa septième saison avec Utah sera-t-elle celle de la consécration ? Élu meilleur défenseur de la Ligue ces deux dernières années, Rudy Gobert espère enfin être sélectionné pour le All-Star Game, le 17 février. C'est l'histoire d'une contradiction. Les qualités du pivot international sont impressionnantes et reconnues outre-Atlantique. Mais dans une ligue qui est autant une compétition sportive qu'un show, son jeu manque-t-il de clinquant ? Dit autrement : son jeu offensif très calibré, toujours près du cercle, l'empêchera-t-il d'être enfin retenu pour le All-Star Game de Chicago ? Ses deux contres en moyenne par match le placent dans le top 10 de la NBA mais, au-delà du jeu, se pose la question de son rôle dans une équipe d'Utah solide prétendante pour les play-offs, après ses dix victoires de rang (du 27 décembre au 15 janvier). Rudy Gobert est-il devenu un leader dans le collectif des Jazz, qu'il a intégré en 2013 ? Animé par Xavier Colombani, avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Maxime Malet (à New York, par téléphone). Note de la rédaction : l'épisode a été enregistré jeudi 16 janvier, avant donc la défaite d'Utah chez les New Orleans Pelicans (138-132 a.p.) dans la nuit de jeudi à vendredi.

Sa septième saison avec Utah sera-t-elle celle de la consécration ? Élu meilleur défenseur de la Ligue ces deux dernières années, Rudy Gobert espère enfin être sélectionné pour le All-Star Game, le 17 février. C'est l'histoire d'une contradiction. Les qualités du pivot international sont impressionnantes et reconnues outre-Atlantique. Mais dans une ligue qui est autant une compétition sportive qu'un show, son jeu manque-t-il de clinquant ? Dit autrement : son jeu offensif très calibré, toujours près du cercle, l'empêchera-t-il d'être enfin retenu pour le All-Star Game de Chicago ? Ses deux contres en moyenne par match le placent dans le top 10 de la NBA mais, au-delà du jeu, se pose la question de son rôle dans une équipe d'Utah <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-rudy-gobert-mike-conley-et-les-utah-jazz-trouvent-leur-rythme/1079504" rel="nofollow" target="_blank">solide prétendante pour les play-offs,</a> après <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Rudy-gobert-du-tres-bon-boulot/1098873" rel="nofollow" target="_blank">ses dix victoires de rang</a> (du 27 décembre au 15 janvier). Rudy Gobert est-il devenu un leader dans le collectif des Jazz, qu'il a intégré en 2013 ? Animé par Xavier Colombani, avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Maxime Malet (à New York, par téléphone). Note de la rédaction : l'épisode a été enregistré jeudi 16 janvier, avant donc la défaite d'Utah chez les New Orleans Pelicans (138-132 a.p.) dans la nuit de jeudi à vendredi.

Tout sur Gobert

Pour la première fois de l’histoire, deux équipes de NBA joueront un match officiel de saison régulière en France, à Paris, vendredi soir. Pourquoi la ligue sportive la plus puissante du monde a-t-elle choisi la France ? Milwaukee Bucks - Charlotte Hornets, voilà l’affiche qui se déroulera vendredi soir à l’AccorHotels Arena, à Paris (21 heures). Une première historique puisque c’est la première fois qu’une rencontre officielle de saison régulière de NBA aura lieu dans l’Hexagone. Malgré les polémiques liées au prix des billets, la salle parisienne sera remplie. L’attente est-elle aussi importante aux États-Unis ? Cette rencontre, qui voit Milwaukee en large favori, permettra à Nicolas Batum (Hornets) de jouer devant le public français. La France n’est que le quatrième pays (hors USA et Canada) à avoir accueilli une telle rencontre. Pourquoi la NBA a-t-elle choisi la France ? Dimension sportive ou choix économico-médiatique ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Liliane Trévisan et Maxime Malet (à Orlando, par téléphone).

Pour la première fois de l’histoire, deux équipes de NBA joueront un match officiel de saison régulière en France, à Paris, vendredi soir. Pourquoi la ligue sportive la plus puissante du monde a-t-elle choisi la France ? Milwaukee Bucks - Charlotte Hornets, voilà l’affiche qui se déroulera vendredi soir à l’AccorHotels Arena, à Paris (21 heures). Une <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nba-a-peine-arrives-les-milwaukee-bucks-sont-deja-a-l-entrainement-a-paris/1101223" rel="nofollow" target="_blank">première historique</a> puisque c’est la première fois qu’une rencontre officielle de saison régulière de NBA aura lieu dans l’Hexagone. Malgré les <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Match-nba-a-paris-en-2020-une-prevente-hysterique/1072609" rel="nofollow" target="_blank">polémiques liées au prix des billets</a>, la salle parisienne sera remplie. L’attente est-elle aussi importante aux États-Unis ? Cette rencontre, qui voit Milwaukee en large favori, permettra à Nicolas Batum (Hornets) de jouer devant <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Nicolas-batum-ailier-des-bleus-un-changement-d-ere/1101550" rel="nofollow" target="_blank">le public français. </a>La France n’est que le quatrième pays (hors USA et Canada) à avoir accueilli une telle rencontre. Pourquoi la NBA a-t-elle choisi la France ? Dimension sportive ou choix économico-médiatique ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Liliane Trévisan et Maxime Malet (à Orlando, par téléphone).

NBA, coup de foudre à Paris

Le meilleur Championnat de basket de la planète reprend le 23 octobre. Une fois encore, la conquête de l'Ouest promet d'être magnifique. La concentration de stars et la densité de prétendants aux play-offs y est impressionnante. Quatre mois après le sacre des Raptors, les franchises de l'Ouest fourbissent leurs armes. Les performances de Curry - sans Durant - à Golden State seront épiées, tout comme celles du duo Harden-Westbrook à Houston. Mais avec les arrivées de George et de Leonard chez les Clippers et celle de Davis chez les Lakers de Lebron James, la NBA pourra-t-elle faire autrement qu'être aimantée par la rivalité de la Cité des anges ? À l'Est, le champion Toronto se morfond donc du départ de Leonard, premier MVP des finales à déserter sa franchise dans la foulée. À l'inverse, Brooklyn a enregistré les renforts de Durant et Irving. Pourtant, peut-on imaginer une franchise contester l'hégémonie de Milwaukee et de Philadelphie dans cette conférence ? Enfin, la colonie française ne comptera que huit représentants cette saison : Gobert, Fournier, Batum, Mahinmi, Poirier, Okobo, Ntilikina et Doumbouya. Dans la lignée de sa Coupe du monde étincelante, que peut espérer Evan Fournier avec Orlando ? Rudy Gobert peut, lui, nourrir des ambitions élevées sur le plan individuel ; alors, sera-t-il enfin All-Star cette année ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Alessandro Piztus.

Le meilleur Championnat de basket de la planète reprend le 23 octobre. Une fois encore, la conquête de l'Ouest promet d'être magnifique. La concentration de stars et la densité de prétendants aux play-offs y est impressionnante. Quatre mois après le sacre des Raptors, les franchises de l'Ouest fourbissent leurs armes. Les performances de Curry - sans Durant - à Golden State seront épiées, tout comme celles du duo Harden-Westbrook à Houston. Mais avec les arrivées de George et de Leonard chez les Clippers et celle de Davis chez les Lakers de Lebron James, la NBA pourra-t-elle faire autrement qu'être aimantée par la rivalité de la Cité des anges ? À l'Est, le champion Toronto se morfond donc du départ de Leonard, premier MVP des finales à déserter sa franchise dans la foulée. À l'inverse, Brooklyn a enregistré les renforts de Durant et Irving. Pourtant, peut-on imaginer une franchise contester l'hégémonie de Milwaukee et de Philadelphie dans cette conférence ? Enfin, la colonie française ne comptera que huit représentants cette saison : Gobert, Fournier, Batum, Mahinmi, Poirier, Okobo, Ntilikina et Doumbouya. Dans la lignée de sa Coupe du monde étincelante, que peut espérer Evan Fournier avec Orlando ? Rudy Gobert peut, lui, nourrir des ambitions élevées sur le plan individuel ; alors, sera-t-il enfin All-Star cette année ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Yann Ohnona, Amaury Perdriau et Alessandro Piztus.

NBA, la folie à l'Ouest

La ligue américaine de basket a perdu de sa superbe. Les dernières rencontres se sont déroulées sans une once de défense, avec une seule star offensive balle en main, une orgie de shoot longue distance et des arbitres qui ferment les yeux sur les règles les plus élémentaires. La saison régulière 2019 ne se résume-t-elle pas à un All-Star Game géant ? Les équipes protègent-elles leurs joueurs en attendant les playoffs ? À quel point la domination des Golden State Warriors, doubles champions NBA en titre, modifie le jeu des autres franchises ? Que faire pour éviter que le basket se dénature ?  Animé par Guillaume Degoulet avec Gaëtan Delafolie, Amaury Perdiau, Alessandro Pitzus.  CRÉDITS  Time Out est un podcast de L’Équipe animé par Guillaume Degoulet. Cet épisode a été enregistré le 15 février 2019 à L’Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargée d’édition : Diane Jean.

La ligue américaine de basket a perdu de sa superbe. Les dernières rencontres se sont déroulées sans une once de défense, avec une seule star offensive balle en main, une orgie de shoot longue distance et des arbitres qui ferment les yeux sur les règles les plus élémentaires. La saison régulière 2019 ne se résume-t-elle pas à un All-Star Game géant ? Les équipes protègent-elles leurs joueurs en attendant les playoffs ? À quel point la domination des Golden State Warriors, doubles champions NBA en titre, modifie le jeu des autres franchises ? Que faire pour éviter que le basket se dénature ? Animé par Guillaume Degoulet avec Gaëtan Delafolie, Amaury Perdiau, Alessandro Pitzus. CRÉDITS Time Out est un podcast de L’Équipe animé par Guillaume Degoulet. Cet épisode a été enregistré le 15 février 2019 à L’Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargée d’édition : Diane Jean.

La NBA est-elle devenue ennuyeuse ?

D’aucuns doutaient de la capacité des Raptors à faire flancher Golden State, double champion en titre de la NBA. Sauf que pour leur première finale, les Canadiens ont gagné le match 1. Et impressionné. La performance de Kawhi Leonard serait décisive, croyait-on. Mais la star de Toronto a beau avoir été muselée par Golden State, les Raptors ont réussi leurs débuts pour la première finale NBA de leur histoire. Alors quels enseignements tirés de ce match 1 disputé au Canada et remporté par les outsiders (118-109) ? Cet avantage du terrain pourrait-il être décisif pour Toronto ? Si Leonard n’a pas pu briller autant que lors des précédentes séries, les champions de la Conférence Est doivent leur succès à un remarquable secteur intérieur et au duo Pascal Siakam - Marc Gasol. Comment expliquer cette réussite ? Peut-elle être la clé de cette finale pour les Raptors ? La défaite des Warriors a également mis en exergue l’absence d’un certain Kevin Durant, blessé au mollet droit depuis la série face aux Houston Rockets. On a appris juste après l’enregistrement de l’émission que l’ailier de Golden State pourrait effectuer son retour lors du match 3 ou lors du match 4. Que pourrait apporter son retour aux champions en titre ? Et Stephen Curry, quel doit être son rôle dans cette finale ? Animé par Gaëtan Delafolie, avec Amaury Perdriau, Alessandro Pitzus et Maxime Malet (à New York).

D’aucuns doutaient de la capacité des Raptors à faire flancher Golden State, double champion en titre de la NBA. Sauf que pour leur première finale, les Canadiens ont gagné le match 1. Et impressionné. La performance de Kawhi Leonard serait décisive, croyait-on. Mais la star de Toronto a beau avoir été muselée par Golden State, les Raptors ont réussi leurs débuts pour la première finale NBA de leur histoire. Alors quels enseignements tirés de <a href="https://abonnes.lequipe.fr/Basket/Actualites/Les-toronto-raptors-etouffent-golden-state-et-enlevent-le-match-1/1024615" rel="nofollow" target="_blank">ce match 1 disputé au Canada et remporté par les outsiders (118-109)</a> ? Cet avantage du terrain pourrait-il être décisif pour Toronto ? Si Leonard n’a pas pu briller autant que lors des précédentes séries, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-les-toronto-raptors-rejoignent-les-golden-state-warriors-en-finale/1022883" rel="nofollow" target="_blank">les champions de la Conférence Est</a> doivent leur succès à un remarquable secteur intérieur et au duo <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Pascal-siakam-ce-n-est-que-le-premier-match/1024622" rel="nofollow" target="_blank">Pascal Siakam</a> - Marc Gasol. Comment expliquer cette réussite ? Peut-elle être la clé de cette finale pour les Raptors ? La défaite des Warriors a également mis en exergue l’absence d’un certain <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Kevin-durant-on-n-aime-pas-nous-voir-ensemble/1022565" rel="nofollow" target="_blank">Kevin Durant, blessé au mollet droit depuis la série face aux Houston Rockets</a>. On a appris juste après l’enregistrement de l’émission que l’ailier de Golden State pourrait effectuer son retour lors du match 3 ou lors du match 4. Que pourrait apporter son retour aux champions en titre ? Et Stephen Curry, quel doit être son rôle dans cette finale ? Animé par Gaëtan Delafolie, avec Amaury Perdriau, Alessandro Pitzus et Maxime Malet (à New York).

Finale NBA : et si Toronto le faisait ?

La Jeep Élite a rendu son verdict comme la NBA quelques jours auparavant. Des deux côtés de l'Atlantique, la saison fut exceptionnelle, entre le succès inattendu de Toronto et le niveau très élevé de la finale ASVEL-Monaco. Dans le précédent numéro de Step back, la rédaction s'était demandée si la victoire des Raptors face à Golden State en finale NBA était vraiment une surprise. Avec davantage de recul, que retiendra-t-on de cette finale :  le premier succès de la franchise canadienne ou bien la chute de la dynastie des Warriors après les blessures de Durant et Thompson ? La saison s'est achevée mardi 25 juin avec les traditionnels NBA Awards. Les récompenses ont peu fait débat : Giannis Antetokounmpo (Milwaukee) a été élu MVP ; Rudy Gobert (Utah) meilleur défenseur ; et Luka Doncic (Dallas) meilleur rookie. Un Grec, un Français et un Slovène. Comment peut-on analyser le recul des Américains ? L'année 2019 est enfin marquée par la retraite de Tony Parker. La reconversion du meilleur joueur français de l'histoire est toute trouvée. Président de l'ASVEL, l'ancien meneur de 37 ans a vu ses équipes féminine et masculine remporter le titre de champion de France et son projet prend de l'ampleur avec l'entrée de l'OL au capital du club. Qu'est-ce que cette réussite dit de la santé du basket français ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Maxime Malet (à New York, par téléphone), Amaury Perdriau et Alessandro Pitzus.

La Jeep Élite a rendu son verdict comme la NBA quelques jours auparavant. Des deux côtés de l'Atlantique, la saison fut exceptionnelle, entre le succès inattendu de Toronto et le niveau très élevé de la finale ASVEL-Monaco. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Step-back-le-podcast-basket-de-l-equipe-toronto-vraiment-une-surprise/1030129" rel="nofollow" target="_blank">Dans le précédent numéro de Step back</a>, la rédaction s'était demandée si la victoire des Raptors face à Golden State en finale NBA était vraiment une surprise. Avec davantage de recul, que retiendra-t-on de cette finale :  <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-premier-sacre-pour-les-toronto-raptors-tombeurs-de-golden-state-au-match-6/1029779" rel="nofollow" target="_blank">le premier succès de la franchise canadienne</a> ou bien la chute de la dynastie des Warriors après les blessures de <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-kevin-durant-golden-state-opere-suite-a-une-rupture-d-un-tendon-d-achille/1029288" rel="nofollow" target="_blank">Durant</a> et <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-klay-thompson-souffre-d-une-rupture-du-ligament-croise-anterieur-du-genou-gauche/1029787" rel="nofollow" target="_blank">Thompson</a> ? La saison s'est achevée mardi 25 juin avec <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Les-coulisses-du-vote-pour-les-awards-de-la-nba/1033422" rel="nofollow" target="_blank">les traditionnels NBA Awards</a>. Les récompenses ont peu fait débat : <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Giannis-antetokounmpo-decroche-son-premier-titre-de-mvp/1033481" rel="nofollow" target="_blank">Giannis Antetokounmpo</a> (Milwaukee) a été élu MVP ; <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Gobert-la-france-qui-gagne/1033769" rel="nofollow" target="_blank">Rudy Gobert</a> (Utah) meilleur défenseur ; et Luka Doncic (Dallas) meilleur rookie. Un Grec, un Français et un Slovène. Comment peut-on analyser le recul des Américains ? L'année 2019 est enfin marquée par <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Tony-parker-apres-l-annonce-de-sa-retraite-je-ne-meurs-pas/1028185" rel="nofollow" target="_blank">la retraite de Tony Parker</a>. La reconversion du meilleur joueur français de l'histoire est toute trouvée. Président de l'ASVEL, l'ancien meneur de 37 ans a vu ses équipes <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Lfb-lyon-asvel-a-decroche-son-premier-titre-de-champion-de-france-face-a-lattes-montpellier/1022073" rel="nofollow" target="_blank">féminine</a> et <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Jeep-elite-l-asvel-etouffe-monaco-et-remporte-un-19e-titre/1033785" rel="nofollow" target="_blank">masculine</a> remporter le titre de champion de France et son projet prend de l'ampleur avec <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Tony-parker-jean-michel-aulas-unis-et-ambitieux-apres-l-entree-de-l-ol-au-capital-de-l-asvel/1032728" rel="nofollow" target="_blank">l'entrée de l'OL au capital du club</a>. Qu'est-ce que cette réussite dit de la santé du basket français ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Maxime Malet (à New York, par téléphone), Amaury Perdriau et Alessandro Pitzus.

L'heure des bilans

Une campagne baroque mais réussie. Privée de ses meilleurs joueurs la plupart du temps, la France a tout de même réussi sa campagne de qualifications. Douze matches, dix victoires et la première place de son groupe. Pour la Coupe du monde, l’effectif tricolore retrouvera ses meilleurs éléments. Alors comment décider qui seront les douze retenus mi-juillet ? Le trio de la NBA Batum-Fournier-Gobert est-il incontournable ? S’il l’est, sera-t-il présent alors que la Ligue nord-américaine est réputée peu prêteuse ? Mais si la présence des joueurs de NBA et d’Euroligue est actée, comment choisir parmi les autres, ceux qui ont porté la France durant ces qualifications ? Andrew Albicy a par exemple été de tous les matches et Paul Lacombe a toujours clamé son amour pour le maillot bleu, comment rentrent-ils dans l’équation ?   Enfin, quel objectif Vincent Collet a-t-il fixé à ses joueurs dans le secret du vestiaire ? Cela passera par une défense d’airain, celle qui avait fait les heures de gloire pendant les années Tony Parker mais qui s’était évanouie lors de l’Euro 2017. Podcast animé par Xavier Colombani, avec Liliane Trévisan, Maxime Malet (à New York) et Arnaud Lecomte.   CREDITS Time Out est un podcast de L'Équipe animé par Xavier Colombani. Cet épisode a été enregistré le 1er mars 2019 à L'Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargé d'édition : Roland Richard.

Une campagne baroque mais réussie. Privée de ses meilleurs joueurs la plupart du temps, la France a tout de même réussi sa campagne de qualifications. Douze matches, dix victoires et la première place de son groupe. Pour la Coupe du monde, l’effectif tricolore retrouvera ses meilleurs éléments. Alors comment décider qui seront les douze retenus mi-juillet ? Le trio de la NBA Batum-Fournier-Gobert est-il incontournable ? S’il l’est, sera-t-il présent alors que la Ligue nord-américaine est réputée peu prêteuse ? Mais si la présence des joueurs de NBA et d’Euroligue est actée, comment choisir parmi les autres, ceux qui ont porté la France durant ces qualifications ? Andrew Albicy a par exemple été de tous les matches et Paul Lacombe a toujours clamé son amour pour le maillot bleu, comment rentrent-ils dans l’équation ? Enfin, quel objectif Vincent Collet a-t-il fixé à ses joueurs dans le secret du vestiaire ? Cela passera par une défense d’airain, celle qui avait fait les heures de gloire pendant les années Tony Parker mais qui s’était évanouie lors de l’Euro 2017. Podcast animé par Xavier Colombani, avec Liliane Trévisan, Maxime Malet (à New York) et Arnaud Lecomte. CREDITS Time Out est un podcast de L'Équipe animé par Xavier Colombani. Cet épisode a été enregistré le 1er mars 2019 à L'Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargé d'édition : Roland Richard.

Quelle équipe de France à la Coupe du monde ?

Leur appétit paraît sans limite. Après leur victoire sur le parquet de Golden State, double-champion en titre, les Toronto Raptors mènent 2-1 en finale de la NBA. La possibilité de l’exploit prend de l’épaisseur. Le match 3 a été riche d’enseignements. Privé de Kevin Durant depuis la série face à Houston et, pour ce troisième acte, de l’ailier complet Klay Thompson, les Warriors ont subi chez eux à Oakland la loi de Toronto (109-123). Stephen Curry, auteur d’une performance majuscule (47 points), est-il trop seul en attaque ? La confiance du champion est-elle altérée au point de voir sa couronne menacée ? Le meneur de Golden State l’affirme, la clef de cette finale sera la défense. A-t-il raison alors que la NBA a consacré l’attaque tout au long de la saison régulière ? Pour leur première finale, les Raptors impressionnent justement en défense, à commencer par leur star, Kawhi Leonard. Green, Ibaka, Gasol ou encore Siakam évoluent eux aussi à un très haut niveau. Reste cette incertitude : les Raptors auront-ils le banc pour tenir sur la longueur d’une finale ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Maxime Malet (à Oakland, par téléphone).

Leur appétit paraît sans limite. Après leur victoire sur le parquet de Golden State, double-champion en titre, les Toronto Raptors mènent 2-1 en finale de la NBA. La possibilité de l’exploit prend de l’épaisseur. Le match 3 a été riche d’enseignements. Privé de Kevin Durant depuis la série face à Houston et, pour ce troisième acte, de <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-thompson-une-absence-cle-pour-les-golden-state-warriors-en-finale/1026538" rel="nofollow" target="_blank">l’ailier complet Klay Thompson</a>, les Warriors ont subi chez eux à Oakland la loi de Toronto <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Nba-les-toronto-raptors-reprennent-l-avantage-en-finale-face-a-des-golden-state-warriors-diminues/1026532" rel="nofollow" target="_blank">(109-123)</a>. Stephen Curry, auteur d’une performance majuscule (47 points), est-il trop seul en attaque ? La confiance du champion est-elle altérée au point de voir sa couronne menacée ? Le meneur de Golden State l’affirme, <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Stephen-curry-une-question-de-defense/1026545" rel="nofollow" target="_blank">la clef de cette finale sera la défense</a>. A-t-il raison alors que la NBA a consacré l’attaque tout au long de la saison régulière ? Pour leur première finale, les Raptors impressionnent justement en défense, à commencer par leur star, Kawhi Leonard. Green, Ibaka, Gasol ou encore Siakam évoluent eux aussi à un très haut niveau. Reste cette incertitude : les Raptors auront-ils le banc pour tenir sur la longueur d’une finale ? Animé par Guillaume Degoulet, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Maxime Malet (à Oakland, par téléphone).

Les Raptors ont les crocs

C'est un début de saison remarquable que réalisent les Villeurbannais. Que des succès, dix, en Championnat, mais aussi cinq en Euroligue après onze journées dont un contre le champion, le CSKA Moscou. L'Asvel peut-elle tenir le rythme ? La domination des champions de France dans les affaires domestiques n'est pas surprenante. Les victoires sur la scène continentale pour le retour de l'Asvel en Euroligue le sont davantage. L'Olympiakos (82-63) et le Panathinaïkos (79-78) ne s'attendaient certainement pas à être les deux premières victimes du club de Tony Parker. Quelle est la part de responsabilité du président dans cette réussite ? On dira peut-être que le principal mérite revient aux joueurs. Le pivot nigérian Tonye Jekiri a notamment marqué les esprits. Mais il semble tirer la langue alors que le calendrier ne baisse pas d'intensité. Les trois revers de suite en Euroligue ne révèlent-elles pas une faille, une limite physique, pour l'Asvel qui va devoir mener de front deux calendriers de trente-quatre matches cette saison, sans compter d'éventuelles phases finales ? Levallois et Monaco pourraient-ils en profiter en Jeep Élite ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Amaury Perdriau.

C'est un début de saison remarquable que réalisent les Villeurbannais. Que des succès, dix, en Championnat, mais aussi cinq en Euroligue après onze journées dont un contre le champion, le CSKA Moscou. L'Asvel peut-elle tenir le rythme ? La domination des champions de France dans les affaires domestiques n'est pas surprenante. Les victoires sur la scène continentale pour le retour de l'Asvel en Euroligue le sont davantage. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Euroligue-l-asvel-domine-l-olympiakos-pour-son-retour-dans-la-competition-continentale/1066461" rel="nofollow" target="_blank">L'Olympiakos</a> (82-63) et <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Euroligue-l-asvel-fait-tomber-le-panathinaikos-a-villeurbanne/1068392" rel="nofollow" target="_blank">le Panathinaïkos</a> (79-78) ne s'attendaient certainement pas à être les deux premières victimes du club de <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Tony-parker-reussir-avec-l-asvel-serait-ma-plus-belle-passe-decisive/1066094" rel="nofollow" target="_blank">Tony Parker</a>. Quelle est la part de responsabilité du président dans cette réussite ? On dira peut-être que le principal mérite revient aux joueurs. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Tonye-jekiri-pivot-etincelant-de-l-asvel-symbole-du-recrutement-opportuniste-du-club/1082449" rel="nofollow" target="_blank">Le pivot nigérian Tonye Jekiri</a> a notamment marqué les esprits. Mais il semble tirer la langue alors que le calendrier ne baisse pas d'intensité. <a href="https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/L-asvel-surclassee-a-tel-aviv-93-62/1084676" rel="nofollow" target="_blank">Les trois revers de suite en Euroligue</a> ne révèlent-elles pas une faille, une limite physique, pour l'Asvel qui va devoir mener de front deux calendriers de trente-quatre matches cette saison, sans compter d'éventuelles phases finales ? Levallois et Monaco pourraient-ils en profiter en Jeep Élite ? Animé par Xavier Colombani, avec Arnaud Lecomte, Yann Ohnona et Amaury Perdriau.

L'Asvel, premier bilan

Sa fidélité a bâti sa réputation, sous le maillot de l’Élan béarnais comme sous celui de l’équipe de France. Rencontre avec l’entraîneur de Levallois, qui n’a connu comme joueur qu’un seul club. Une telle loyauté est-elle toujours imaginable aujourd’hui ? Pendant ces dix-sept ans passés dans ses Landes natales, a-t-il jamais douté de son attachement ? A-t-il eu envie d’aller voir ailleurs ? Eprouve-t-il des regrets ?  Devenu technicien dans les Hauts-de-Seine il y a quatre ans, sa soif de victoires, son besoin de titres n’ont bien sûr pas disparu. Mais ses ambitions s’arrêtent-elles au championnat de France ? Un peu de basket-fiction l’enverrait peut-être à la tête de l’équipe de France pour succéder à Vincent Collet. Non ?    Animé par Guillaume Degoulet, avec Yann Ohnona et Amaury Perdriau.  CRÉDITS  Time Out est un podcast de L’Équipe animé par Guillaume Degoulet. Cet épisode a été enregistré le 22 février 2019 à L’Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargé d’édition : Roland Richard.

Sa fidélité a bâti sa réputation, sous le maillot de l’Élan béarnais comme sous celui de l’équipe de France. Rencontre avec l’entraîneur de Levallois, qui n’a connu comme joueur qu’un seul club. Une telle loyauté est-elle toujours imaginable aujourd’hui ? Pendant ces dix-sept ans passés dans ses Landes natales, a-t-il jamais douté de son attachement ? A-t-il eu envie d’aller voir ailleurs ? Eprouve-t-il des regrets ?  Devenu technicien dans les Hauts-de-Seine il y a quatre ans, sa soif de victoires, son besoin de titres n’ont bien sûr pas disparu. Mais ses ambitions s’arrêtent-elles au championnat de France ? Un peu de basket-fiction l’enverrait peut-être à la tête de l’équipe de France pour succéder à Vincent Collet. Non ?  Animé par Guillaume Degoulet, avec Yann Ohnona et Amaury Perdriau.  CRÉDITS  Time Out est un podcast de L’Équipe animé par Guillaume Degoulet. Cet épisode a été enregistré le 22 février 2019 à L’Équipe (Boulogne-Billancourt). Direction de la rédaction : Jérôme Cazadieu. Production exécutive : Binge Audio. Réalisation : Sébastien Salis. Chargée de production : Albane Fily. Chargé d’édition : Roland Richard.

Les vérités de Frédéric Fauthoux

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